![Alt Text Beschreibung](/fileadmin/_processed_/c/c/csm_T1--Gurs_20a67baefa.jpg 480w, /fileadmin/_processed_/c/c/csm_T1--Gurs_0919032923.jpg 720w, /fileadmin/_processed_/c/c/csm_T1--Gurs_77461b5627.jpg 960w, /fileadmin/_processed_/c/c/csm_T1--Gurs_9580988899.jpg 1200w, /fileadmin/_processed_/c/c/csm_T1--Gurs_89d534b510.jpg 1440w, /fileadmin/_processed_/c/c/csm_T1--Gurs_ddccecb7a1.jpg 1920w, /fileadmin/_processed_/c/c/csm_T1--Gurs_68b405f263.jpg 2400w)
© Mémorial de la Shoah, Coll. Maurice Laügt, Eva Laügt, MLXV_181
En octobre 1940, des milliers de Juives et Juifs du sud-ouest de l’Allemagne sont déportés à Gurs. Certains parviennent à s’évader de ce camp français, plus d’un millier y meurent. La plupart des survivants sont ensuite déportés et assassinés à Auschwitz-Birkenau et Sobibor.
Ce sont ces crimes et leurs suites que rappelle, depuis de multiples perspectives, notre exposition.
L’exposition « Gurs 1940 » n’est pas la première sur le sujet. Mais elle tente de jeter explicitement des ponts entre les récits nationaux et veut ainsi contribuer à une narration européenne intégrative de la ségrégation, de la persécution et de l’assassinat des Juives et des Juifs sous le nazisme.